Après avoir lu quelques critiques "du portefeuille rouge", c'est avec plaisir que je me suis plongée dans "La relieuse du gué" pour découvrir Mathilde à ses débuts.
Nous sommes en Dordogne au mois d'octobre. Un vieux livre apporté par un jeune homme mystérieux est à l'origine de l'intrigue. L'histoire continue mais reste au second plan dans le monde des beaux livres anciens dont Mathilde s'occupe avec passion, entourée de ses amis - artisans en voie de disparition.
Un univers merveilleusement décrit par Anne Delaflotte Mehdevi.
Résumé de l'éditeur:
Un lundi matin venteux, très tôt, dans un village de Dordogne. Dans son atelier encore fermé, une relieuse se prépare avec délectation à travailler sur les livres qu’on lui a confiés, lorsqu’on frappe à sa porte avec insistance. Un mystérieux visiteur lui confie un livre ancien pour restauration. Pressé, mal en point, l’homme s’engouffre de nouveau sous la pluie qui bat les pavés. Un visiteur d’une beauté renversante. La relieuse s’attelle avec d’autant plus d’ardeur et de curiosité à ce nouveau travail : un livre ancien, relié à l’allemande, constitué de dessins représentant un fanum, antique lieu de culte gallo-romain, et dissimulant une liste de noms derrière une odeur de brûlé : en un mot, une rareté.
Un premier roman qui mêle l’odeur du cuir aux secrets de famille, campe des personnages attachants et parfois cocasses, et laisse une place de choix à une écriture pleine de chaleur et de sensualité.
Un premier roman qui mêle l’odeur du cuir aux secrets de famille, campe des personnages attachants et parfois cocasses, et laisse une place de choix à une écriture pleine de chaleur et de sensualité.
GAIA - 2008 - 267 pages
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire